Hiatrika ny fiadiana ny tompondaka eran-tany eo amin’ny taranja échecs ilay mpilalao malagasy mitana ny lohany nasionaly, Rakotomaharo Fy. Mialoha izany anefa, mbola hiatrika ny «Olympiade» ny tenany.

Rakotomaharo Fy. Mpilalao échecs malagasy milalao any Frantsa. Araka ny vaovao voaray teny anivon’ny federasiona malagasy (FMJE), hiaro ny voninahi-pirenena amin’ny fiadiana ny tompondaka eran-tany sokajy zandriny Rakotomaharo Fy. Fifaninanana iraisam-pirenena hotanterahin’ny federasiona iraisam-pirenena any Rosia, ny 30 septambra – 4 oktobra izao.

Nambaran’i Fy fa ilaina ny miatrika io hetsika goavana io raha te ho lasa lavitra amin’ny taranja échecs. Voalaza mantsy fa efa manana ny grady “maitre” roa i Fy amin’izao fotoana koa raha miatrika io hetsika goavana any Rosia io izy dia miakatra “grand maitre”. “Efa manana gradina “maitre” roa aho amin’izao fotoana ka tanjoko ny ho tonga “grand maitre” nefa tsy tody amin’izany raha tsy miatrika fifaninanana iraisam-pirenena goavana”, hoy i Fy.

Ankoatra izay, hiatrika ny “Olympiade” hotanterahina any Baku, Azerbaijan, ihany koa ity mpilalao malagasy any Frantsa ity, ny 1 – 14 septambra izao.

Tsy vaovao amin’i Fy ny fiatrehana hetsika iraisam-pirenena goavana. Efa niatrika ny “International Chess Open 2016” izay notanterahina teto Madagasikara, ny 20 – 25 jolay teo, izy. Efa niatrika ny fiadiana ny tompondakan’i Frantsa ihany koa ny tenany. Marihina fa norombahiny avokoa ireo hetsika ireo teo amin’ny sokajy misy azy.

M.N.

Trois jeunes femmes, âgées de 23 ans environ, ont créé Fried Squid en France. En participant à divers festivals de musique, le groupe commence peu à peu à se faire un nom. Grace, la Malgache faisant partie du trio, est actuellement au pays.

En 2010, trois jeunes étudiantes se rencontrent en France. Partageant les mêmes goûts musicaux, elles décident de former un groupe. « C’était le jour de l’an. Nous mangions ensemble du calmar frit, ou « Fried Squid » en anglais. Et voilà comment on a décidé d’appeler le groupe ainsi», fait savoir Grace, le leader du groupe. Au début, toutes les trois jouent de la guitare mais, pour se différencier, Grace décide de se mettre au ukulélé, un instrument à cordes traditionnel des îles Hawaï, tandis que Loriane se lance dans la percussion et Carole reste à la guitare.

Participation à plusieurs festivals

Le groupe a déjà participé à plusieurs festivals de musique en France, comme les Francofolies, plus précisément sur la scène Pression Live qui a eu lieu le 13 juillet dernier et où elles ont assuré une prestation de près de 45 minutes. Empruntant un genre que l’on pourrait qualifier d’ « exotique », Fried Squied met parfois dans ses compositions ou lors de ses apparitions une touche, des sonorités malgaches grâce à la présence de Grace qui n’a pas oublié son pays d’origine. Le groupe a déjà en poche quelques compositions, mais se lance aussi dans des interprétations.

Brillant dans des concours

Mais la carrière des filles a commencé à s’envoler sérieusement en 2013, lorsqu’elles ont participé à un concours intitulé « Emergenza ». Arrivé en quatrième position, Fried Squid est monté sur la scène du Bataclan devant des milliers de spectateurs. Depuis, le groupe se retrouve régulièrement propulsé sur le devant la scène de plusieurs évènements culturels en France. Et cette année, elles ont décidé de retenter leur chance dans le même concours et ont fini en deuxième position. Elles ont ainsi reçu, en guise de lot, l’enregistrement gratuit de quelques titres dans un studio professionnel. « Une fois la partie recording terminée, nous allons présenter notre premier opus et ce, probablement avant la fin de l’année », a confié Grace. Le groupe espère, un jour, se produire sur une scène malgache et rencontrer d’autres groupes pour enrichir les échanges.

Holy Danielle

Ce soir, la chanteuse sortie tout droit de la première saison du concours musical Pazzapa sera sous les feux des projecteurs en interprétant la célèbre  Alicia Keys. Organisée par Andry Michaël Randriantseva, la soirée se veut être à la hauteur de la réputation de la star internationale, assurée par Faniah.

Pour cela, plusieurs musiciens seront aux côtés de la chanteuse, en l’occurrence Andry Michaël Randriantseva au clavier, Josia Rakotondravohitra à la batterie, Henintsoa Andriamasimanana à la guitare basse, Sanda Ranaivosoa à la guitare, Anjaniony Andriamanandratra au saxophone, Tsanta Randriamihajasoa à la trompette, Naly Rakotondrabe au trombone. Faniah sera également épaulée par trois choristes : Toubih Rands, Jessica Mia et Vatosoa Ralisiarimanitra. «Bref, nous avons tout mis en œuvre pour que cette soirée soit  accompagnée de la bonne musique», a confié Andry Michaël Randriantseva.

Durant deux heures, Faniah interprétera une vingtaine de titres. De son vrai nom Steph Rakotonarivo, Faniah a, comme il a été dit, fait ses premiers pas lors du concours télévisé Pazzapa au début des années 2000. Elle s’est tout de suite fait remarquer par sa voix grave et puissante et a ensuite continué sa carrière en sillonnant les cabarets.

Holy Danielle

Psykôpasy vient de sortir un nouveau clip intitulé «Fandriampahalemana sy Fitiavana». Réalisé par Boska Bosa, le clip donne une autre dimension des réalisations malgaches du genre puisqu’il est intégralement en mode film d’animation. Les textes sont également bien écrits et lancent un appel à l’amour, la fraternité et à la paix au pays et même dans chaque foyer.

« Zay mitambatra vato, zay misaraka fasika », une citation malgache qui met en avant les vertus de la solidarité. «Mais dans tout ceci, l’amour est le plus important», a-t-il  annoncé. Notons que ce clip  est tiré du dernier album du rappeur qui est sorti officiellement au mois de février dernier. Il contient douze titres et deux bonus complémentaires. Il projette de donner un show-case bientôt pour la promotion de ce dernier.

Holy Danielle

Mika & Davis au Piment Café

Du folk mélangé avec le fameux « tropic hop », deux genres musicaux qui ont contribué au succès de Mika & Davis. Ce soir, à partir de 21 heures, le duo sera « Ravoravo » de donner son énième concert au Piment Café Behoririka. Outre

« Ravoravo », la chanson fétiche du groupe, des titres comme « Ampindramo ahy », « Good Bye my friend », « Tsaiky joby », « Zay no Tagniniako » seront au répertoire.

Dadah de Fort Dauphin au Jao’s Pub

Un retour en apothéose. C’est ce que Dadah de Fort Dauphin s’apprête à donner aux noctambules de la capitale à l’occasion de son cabaret, ce soir, au Jao’s Pub Ambohipo. Effectivement,  l’absence de Dadah de Fort-Dauphin de la scène tananarivienne, ces derniers temps, a créé un manque chez son public. Une occasion se présente pour les amateurs du Mangaliba, Tsapiky ou encore du Salegy, d’apprécier ce maître incontesté de la musique tropicale.

Mami Bastah à l’Hôtel des Thermes

Il a récemment participé au « Bira Compil », un projet de compilation musicale réunissant une bonne dizaine d’artistes issus de la capitale du Vakinankaratra. Armé de sa guitare, Mami Bastah va présenter l’aboutissement de cet ambitieux projet le temps d’un concert à l’Hôtel des Thermes Antsirabe, ce soir. Rendez-vous est ainsi pris.

« Rodobe Gasy » au JR Anosivavaka

« Rodobe Gasy », ainsi s’intitule le cabaret que le restaurant JR Anosivavaka Ambohimanarina s’apprête à accueillir, ce soir. A l’affiche, Rija Ramanantoanina, Fafah, Mahery, Luk, Lilie, et Haingo vont partager la scène. Outre les compositions de chaque artiste, « Rodobe Gasy » promeut également la musique traditionnelle malgache.

Nini, Kiady et Jovin au Label d’Orient

Si le trio s’est formé à l’occasion d’un concert de solidarité l’année dernière, les membres se sont décidés à monter leur propre groupe « Soulanga » pour exprimer sur scène cette passion commune pour la musique. Nini Kolibera, Kiady et Jovin, puisque c’est d’eux qu’il est question, donneront un cabaret acoustique au Label d’Orient Ambohibao, Ambatolampy, ce soir.

Regina Daniel Goerger à l’Is’art Galerie

Regina Daniel Goerger, artiste de paysage et plasticienne et performeuse, va animer un atelier d’initiation à l’art-performance, ce samedi, à l’Is’art Galerie Ampasanima        lo. « Le rythme organique du vivant – observable par l’extérieur dans le mouvement des choses (vagues, vent dans les arbres) – jusqu’à l’intérieur des cellules du vivant ou chaque particule danse et crée du son dans un va et vient incessant », analyse l’artiste allemande.

Ralanto et Malm à l’IKM

Réunir sur la même scène deux générations différentes. C’est ce contexte que « Revy acoustique » propose aux mélomanes de la capitale, ce samedi, à l’IKM Antsahavola. Au menu, Ralanto, le chanteur de « Sipa mainty kely » sera accompagné de Malm de Martiora Freedom, pour former un duo des plus improbables, certes, mais c’est impressionnant de voir le résultat que cela va donner.

Zazaraha au CGM

Zazaraha s’apprête à donner un spectacle au Cercle germano-malgache, demain, pour ravir les inconditionnels de concerts diurnes. Il

sera  accompagné de Mija sur scène. « Zazaraha a créé son identité musicale avec le souci de respecter et de transmettre l’âme et la magie de la musique traditionnelle malgache. Il se situe dans le champ de la recréation d’un patrimoine et dans la composition d’œuvres inspirées par la tradition », explique le chanteur.

GMMC au Pavé

Le groupe God’s Messenger Mass Choir (GMMC) s’est engagé depuis toujours à  mettre ses talents au service de l’évangélisation et des œuvres sociales. Dans ce contexte,  la chorale va donner un déjeuner- concert de levée de fonds, ce samedi, au Pavé Antaninarenina. Le rendez-vous est fixé à 12h 30.

Mahaleo au Kianjan’ny Kanto

Après une longue tournée régionale, Mahaleo est de retour dans la capitale pour partager de nouveau un moment nostalgique le temps d’un concert, « Donak’afo » qui se tiendra ce samedi au Kianjan’ny Kanto Mahamasina. A noter que ce concert est dédié à une cause noble, la solidarité envers la jeunesse malgache.

Avec pour slogan « Rise Madagascar », Geoffrey Gaspard, un jeune habitant de Diego Suarez de 21 ans s’est fixé pour mission de valoriser l’image de sa ville, et de son pays, en partageant sur internet des photos et vidéos qui mettent en valeur tous les aspects positifs de la vie à Diego Suarez et à Madagascar.

 

 

Paysages, personnes, lieux touristiques, festivals : Geoffrey Gaspard et une trentaine de ses « amis » internautes ont pris d’assaut la plateforme « Instagram » de partage de photos instantanées, si bien que plus rien ne leur échappe !

Geoffrey Gaspard s’est fait remarquer ces derniers temps : une de ses photos, qui illustre le « choc » dans les airs entre deux danseurs de Capoeira, a été retenue, parmi des milliers d’autres par le jury du concours de photographies lancé par le réseau mondial des Alliances Françaises. Le mercredi 1^er juin, il présentait également sa dernière réalisation cinématographique : un petit film de 6 minutes réalisé en partenariat avec la région DIANA et la Direction Régionale de la Jeunesse et des Sports.

Dans ce spot, également diffusé sur internet, à mi-chemin entre le clip et le court-métrage, on découvre l’infinie variété des disciplines sportives pratiquées à Diego Suarez par des centaines de femmes et d’hommes, jeunes ou moins jeunes, amateurs ou professionnels, et même handicapés ! Le message du film est clair : la pratique du sport est une richesse, et il invite directement les habitants de Diego

Suarez et les Malgaches à rejoindre les nombreux clubs de la région.

 

Avant cela, Geoffrey Gaspard s’était fait remarquer à travers l’animation de la « communauté Instagram Madagascar » qui compte plus de 10 000 abonnés.

Fondateur de la communauté Instagram malgache, les « Igers gasy » sont de plus en plus nombreux à poster et partager leurs photos sur le réseau social dédié à la photographie.

En mars et avril 2016, à Diego Suarez d’abord, puis à Tana, se tenait les deux premiers « InstaMeet » (rencontres d’utilisateurs du réseau social Instagram – NDLR) de Madagascar, réunissant une centaine d’adeptes, accros ou amateurs, qui découvraient pour certains les visages de leurs amis virtuels. L’occasion aussi pour la majorité des participants de mieux comprendre le concept « Rise Madagascar » et d’entrevoir les possibilités de promotion de la région et du pays, mais aussi les éventuelles retombées économiques directes pour les opérateurs touristiques, et indirectes pour les animateurs passionnés de la communauté

Instagram.

 

Qui est Geoffrey Gaspard ? Né à Diego Suarez en 1995, d’origine indo-créolo-malgache, il vit et grandit à Diego Suarez jusqu’au bac qu’il obtient au Lycée Français Sadi Carnot qui livre alors sa dernière promotion de bacheliers avant la fermeture. Au lycée, il pratique un peu le théâtre, mais se distingue surtout par sa pratique intensive des sports, et notamment du windsurf et du kitesurf. Il organisera d’ailleurs, avec plus ou moins de succès et de difficultés – il n’a alors que 17 ans – les deux premières éditions des RCM Kitesurf Contest, en baie de Sakalava et alentours. De cette aventure, il en reste surtout, toujours visible sur internet une magnifique vidéo réalisée par un des champions de KiteSurf sud-africain, qui offre un sérieux coup de projecteur sur les principaux spots offerts par la nature autour de Diego Suarez.

Après le Bac, Geoffrey Gaspard se rend en Afrique du Sud pour perfectionner ses capacités en matière d’organisation événementielle. C’est là-bas qu’il observe beaucoup de nouveautés, notamment en matière d’usages des nouvelles technologies. Afin de toucher le plus largement les internautes susceptibles de visiter la grande île, il décide d’utiliser la langue anglaise. Il se découvre aussi une passion pour la photographie et la réalisation audiovisuelle. Muni d’un simple Iphone, qu’il acquiert en juillet 2014, il commence par inonder les réseaux sociaux de ses photos. C’est à la même époque qu’il réalise le clip « Happy from Diego », puis « Happy from Nosy Be ». Il a tout juste 20 ans. Son dernier projet : se rendre en Inde, afin de se former en réalisation cinématographique. Quand on lui demande s’il reviendra à Madagascar, il répond franchement qu’il ne sait pas encore ce que l’avenir lui réserve, mais qu’il reviendra à coup sûr pour continuer sa mission : offrir au monde le plus beau des visages pour son pays Madagascar et surtout la ville qui l’a vu naître et qu’il aime : Diego Suarez■

Le 1er Instameet a Madagascar a eu lieu à Diego Suarez en Mars

Le 2eme instameet à Tana en Avril.

Geoffrey Gaspard

 

Par Raoul Ampinga –

La Tribune de Diego

 

Tonga ny fotoana! Efa vory lanona eto Antananarivo avokoa ireo mpandray anjara rehetra amin’ny “Lalaon’ny kaomisiona ho an’ny tanora sy ny fanatanjahantena aty amin’ny faritry ny ranomasimbe Indianina”. Hisokatra, anio tolakandro, etsy amin’ny lapan’ny Fanatanjahantena Mahamasina ny andiany faha-10 amin’ny lalaon’ny CJSOI, izay ampiantranoan’i Madagasikara, mazava loatra.
Araka ny fanazavana, haka endrika seho goavana sy maimaimpoana ny lanonam-panokafana, manomboka amin’ny 2 ora tolakandro. Hisy ny filaharana hampahafantarana ireo mpilalao hifanandrina rehetra mandritra ny lalao. Hanaraka avy eo ny mitabe. Hanafana ny sehatra goavana kosa ry Jerry Marcoss, Melky, Odiay, Simonda ary Stanros. Ireto farany rahateo no nanatontosa ilay hira fanevan’ny “lalaon’ny CJSOI” andiany faha-10.
Mikasika ilay lafiny zavakanto sy kolontsaina izay ihany, hisy ny fanehoana ny dihy sy mozika nentim-paharazana, hataon’ny sampana zavakanto eny amin’ny A&C Ivato, ny alahady 31 jolay. Hitohy amin’ny fihaonamben’ny tanora izay ny alatsinainy maraina, eny an-toerana ihany. Etsy amin’ny CEMDLAC Analakely kosa ny sokajy dihy, mozika ary teatra ny hariva. Hitohy ao amin’ity toerana ity ihany ny teatra ny talata 2 jolay. Miverina ao ihany koa ny dihy sy mozika nentim-paharazana ny 4 aogositra.
Raha tsiahivina, mihodidina ny tontolon’ny tanora ny lohahevitra voizina anatin’ny teatra sy ny dihy. Soradihy roa no homanin’ireo tanora solontena malagasy. Manomana piesy teatraly roa koa ireo mpanao teatra, ka “Code des jeunes” sy “L’Union fait la force” ny lohateniny.

Zo ny Aina

« Parfois le vide ». Manakoako any amin’ny tontolon’ny literatiora any Frantsa any, tato anatin’ny fotoana vitsivitsy izay, io lahatsoratr’i Jean-Luc Raharimanana io.  Manamafy izany ireo hetsika nanehoana azy.

Jean-Luc Raharimanana, mpanoratra malagasy anisan’ireo misongadina sy mamiratra any ivelany any. Taorian’ny tany Avignon, hoentina an-tsehatra indray ny sanganasany iray mandritra ny « Festival francophonie métissée ». Lahatsoratra mety amina teatra sady azo hiraina ny « Parfois le vide ». Hafakely kosa ny nitondran’i Jean-Luc Raharimanana an-tsehatra azy, nandritra ny hetsika « Ça va, ça va le monde ! », nokarakarain’ny RFI (Radio france internationale), tao anatin’ny « Festival d’Avignon », ny 17 jolay teo.

Fiantsana lahatsoratra ny « Ça va, ça va le monde ! ». Tamin’ny fotoana namakian’ny mpanoratra ny « Parfois le vide », nanaraka azy tamin’ny hira sy ny fitsofana sodina i Géraldine Keller, teo koa ny mozikan’i Tao Ravao ary ny ampongan’i Jean-Christophe Feldhandler. Mpanakanto efa samy manana ny maha izy azy avokoa ireo.

Taorian’ny tany Avignon, hoentina any amin’ny « Festival francophonie métissée » ity asa soratr’i Jean-Luc Raharimanana ity. Hotanterahina ny 28 septambra hatramin’ny 14 oktobra izao, any Frantsa, ity hetsika ity, izay iarahan’ny OIF* sy ny minisitera frantsay misahana ny Kolontsaina sy ny serasera ary ny RFI manatontosa.

Landy R.

Vanim-potoana iray lehibe ifaneraseran’ny samy mpikabary ny « Herinandron’ny kabary ». Folo taona amin’ity taona ity ny nanamarihan’ny Fikambanan’ny mpikabary malagasy (Fimpima) tsy niato izany tetikasan’ny foibe Fimpima izany. Ankoatra ny samy mpikabary, mahazo tombom-pahalalana amin’ny « Herinandron’ny kabary » ihany koa ny olona rehetra satria omena ampaham-potoana lehibe ny fampahalalana ny kolontsaina isam-paritra, kilalaon-tsaina, fiofanana samihafa, sns.

Tsy nivoaka an’Antananarivo ny nanatontosana ity hetsika ity raha tsy tamin’ny taona 2015 ka nitondrana izany tany Morondava. Any Mahajanga kosa ny 7 aogositra ka hatramin’ny 13 aogositra izao ny andiany fahafolo. Fotoana hanatanterahana rahateo ny fivorian’ny komity foibe, hanaovana tatitra ho an’ny asa vita sy hanapahana ny tetikasa taona 2017.

Marihina fa ankoatra ny mpikambana avy eto amin’ny lafivalon’ny Nosy, tonga hanatrika ity « Herinandron’ny kabary » mandia ny fahafolo taona ity ihany koa ireo mpikambana avy ao amin’ny Fimpima maneran-tany avy any ivelany.

Anisany hisongadina amin’ny fiofanana ho an’ny rehetra ny lohahevitra : « Ny fifampiraharahana », « Ny fampivoarana ny fahaiza-manao » ary ny fifampizarana eo amin’ny fahalalana ny teny malagasy.

HaRy Razafindrakoto

Après le franc succès de Miadana en 2011 et Tsiliva en 2015, le secteur culturel  malgache peut encore rêver d’une autre consécration au «Rêve africain» qui entame cette année  sa 7è édition.

L’appel à projets a été lancé depuis le mois de mars et ce, jusqu’en septembre. La commission d’écoute se déroulera au mois d’octobre, suivie d’une séance de votes sur la toile des 10 projets localisés par les membres du jury. Pour couronner le tout, les 3 projets gagnants seront connus au mois de décembre. Et comme à l’accoutumée, le concours englobe des domaines aussi variés que la danse, la photographie, la peinture, le court- métrage, la sculpture, la mode et la décoration, la coiffure, l’humour et la musique.

Du côté 7è art, Thierry Ravelomanantsoa a ouvert le casting au festival à travers son court- métrage intitulé «Daneyah sy ny robots». «C’est l’histoire d’une jeune femme qui est devenue l’élue de l’ange pour sauver sa ville et mettre un terme au plan machiavélique de Séyon», résume le réalisateur.

Un concept qui s’inscrit dans le cadre du «Rêve africain», « l’Afro pépite show » représente culturellement les talents d’Afrique d’aujourd’hui ou de demain.  Rappelons que pour l’édition 2011, Miadana Aurelia a raflé le premier prix par le biais de sa peinture figurative intitulée «Razana». Tsiliva a également été primé l’année dernière pour son morceau intitulé «Za sa lery».

Joachin Michaël

Deux artistes allemands constituent la tête d’affiche avec Olombelo Ricky lors de la 25è édition de «Manal’Azy», sous les  feux des projecteurs le 4 août prochain à Antsahamanitra.

Cette année, l’évènement « Manal’Azy » ne déroge pas à la règle car comme à l’accoutumée, il se tiendra le soir de la dernière journée du baccalauréat, plus précisément le 4 août prochain. Mais la particularité de cette édition de Manal’azy, l’exception qui confirme la règle, est la montée en scène d’Alexander et Rosana Slopp deux musiciens allemands. Ils étaient déjà au pays il y a deux ans de cela et ont participé à diverses manifestations culturelles dans le cadre de la célébration du Nouvel an malgache. «C’est un honneur pour moi de les inviter à ce show qui deviendra en quelque sorte, une scène d’échanges musicaux entre nous. Bref, le mélange culturel sera mis en avant», a-t-il continué. Le couple arrivera au pays ce jour.

«Ce spectacle n’est pas uniquement destiné aux bacheliers, tous les fans et les fidèles seront toujours les bienvenus», a précisé Olombelo Ricky. Et si le portail s’ouvre au grand public à partir de 16h30, le spectacle en question ne débutera qu’à 18 heures. A ce propos, « auparavant, nous avions pour habitude d’investir la scène durant plus de quatre heures, cette année, nous devrons nous limiter un peu, selon les recommandations des autorités », a-t-il indiqué.  Le concert se terminera donc vers 21 heures.

« Manakasy »

Par ailleurs, Olombelo Ricky a initialement prévu pour l’occasion de sortir officiellement son dernier album intitulé « Manakasy » mais il a décidé de l’ajourner. «Nous allons retourner en studio pour quelques enregistrements avec ces deux artistes étrangers. Et cet album sera prêt vers la fin du mois de septembre prochain», a fait savoir l’artiste. Mais ce n’est pas tout puisqu’un autre album sera lancé en même temps que ce dernier opus. «Il s’agit d’un album Duo qui contiendra tous les morceaux que j’ai réalisés en featuring avec d’autres artistes», a-t-il souligné.

Enfin, après ce spectacle, le chanteur livrera deux autres prestations, un « Manal’azy tanora zokiny« , le 6 août, à l’Escale artistique à Ambohipo puis, le 12 août prochain, au Piment Café à Behoririka.

La finale régionale du concours «Quizz Ikoizana» s’est tenue, la semaine dernière, dans les Alliances françaises de six villes (Mahajanga, Toamasina, Antsirabe, Antsiranana, Fianarantsoa et Toliara). Et d’après les organisateurs, la finale régionale d’Antananarivo aura lieu, ce jour, à l’Alliance française d’Antananarivo (AFT) à Andavamamba.

Et le concours continue donc ! La délégation générale à l’organisation du Sommet de la Francophonie et les Alliances françaises proposent des épreuves orales pour la finale de ce jour, sans oublier que les questions tournent toujours autour de la Francophonie. Après les épreuves, les résultats seront tout de suite proclamés et deux finalistes participeront à la grande finale qui se tiendra à l’AFT le 27 août prochain.

Rappelons que ce concours a débuté au mois d’avril dernier avec plus d’une centaine de candidatures enregistrées. «Les jeunes s’intéressent à ce  genre d’événement qui permet d’évaluer leur niveau par rapport aux autres», a-t-on expliqué.

Holy Danielle

Dans un contexte où la plupart des ménages ne partent plus en vacances, faute de moyens,  «Ndao Hilalao» investit pour la deuxième année consécutive l’ANS Ampefiloha pour ravir les enfants.  «Nous avons constaté que durant la période des vacances, les enfants tananariviens n’ont pas beaucoup d’occupations. Ils sont scotchés devant leur télévision et jeux-vidéo alors qu’il y a tant à faire en matière d’activités ludiques. La raison d’être de Ndao Hilalao est justement de transmettre la culture malgache essentiellement aux enfants, de faire connaître les jeux traditionnels malgaches», a fait savoir Nantsoina du comité d’organisation.

Outre les jeux cérébraux traditionnels typiquement malgaches, la danse, la musique, le théâtre et notamment le «Vakodrazana» feront la particularité de «Ndao Hilalao».  Les thèmes abordés durant ces activités feront la part belle aux actions citoyennes et au respect de l’environnement.  «Ndao Hilalao a également pour objectif de faire connaître la région Analamanga sous un autre angle. Nos enfants  ne connaissent la capitale que par le biais des embouteillages quotidiens, l’école et la maison. Alors qu’il y à beaucoup de sites et d’endroits à découvrir  et faire découvrir», a-t-elle conclu.

Joachin Michaël

Manao izay tratry ny heriny ny fikambanana Sehatra Bà Gasy ho fampahafantarana sy fampiroboroboana ity mozika anisan’ny mampiavaka antsika ity. Na izany aza, tsikaritra ho tsy ampy izany fa mila fanohanana avy amin’ny hafa : ny minisitera mpiahy sy ny sehatra tsy miankina.

Nanolotra fampisehoana « feno » ireo tarika nanafana ny « Bà gasy an-tsehatra », omaly tetsy amin’ny Tranompokonolona Analakely. Feno, satria matihanina ny natolotra ny mpijery (hira, fomba fisehoana an-tsehatra, haingo, fanamafisam-peo, sns). Ny indro kely anefa, maro ny seza tsy nisy mpipetraka.

Isam-bolana, mizara traikefa amin’ireo rehetra mankafy mihira bà gasy ny Sehatra Bà gasy. Tsy vitsy ireo mamaly ny antso amin’izany ary ao anatin’izany ny tanora. Ankoatra izany, miaina sy miasa ny fikambanana eo amin’ny fampahafantarana tsy an-kiato ity mozika ity. Midika izany rehetra izany fa manao ezaka hatrany ireo mpikambana.

Ny olana ? Azo lazaina ho tsy ampy ny serasera, indrindra mialoha ny fampisehoana, toy ny notanterahina omaly. Nisy ihany ny peta-drindrina, saingy vitsy, tsy toy ireny amin’ny fampisehoan’ny artista lehibe ireny, sady tsy mahasehaka sokajin’olona samihafa izany. Marihina fa anisan’ny andaniam-bola be indrindra, rehefa manao seho toy izao, ny lafiny dokam-barotra. Raha ny bà gasy no resahina, tsy ho vitan’ny fikambanana irery izany. Eo no ilana ny fanohanan’ny minisitera mpiahy sy izay rehetra resy lahatra ny amin’ny maha zava-dehibe ity seha-javakanto iray ity.

Fa na vitsivitsy aza ireo tonga nijery ny « Bà gasy an-tsehatra », omaly, tsapa ho tena nankafy izy ireo ary samy niezaka nanafana ny sehatra ireo nifandimby niakatra teny. Nisantatra izany, tamin’ny « Antananarivo » (nosoratan’i Naka Rabemananjara) sy ny « Akanga tsy saraky ny ala » ny tarika Angola Itokiana. Nandimby azy, avy eo, i Lizah Raseta ary narahin’ny Aro kalon’ny fahiny.

Landy R.

Nentina an-tsehatra, tetsy amin’ny Cemdlac Analakely ny asabotsy teo, tamin’ny alalan’ny tsangan-tononkalo, ny « Antsahanofy », sanganasan’i Hanitra Olive. Niavaka noho ny fahita hatramin’izay ity tsangan-tononkalo ity, araka ny efa nampanantenaina, satria toy ny mifamaly ireo tononkalo. Teo ihany koa ny fiantsan’olon-droa tononkalo iray. Maromaro ireo mpikambana ao amin’ny Faribolana Sandratra nandray anjara tamin’izany. Nisy ihany koa ny fotoana nihiran’i Hanitra Olive, nandritra ny fampisehoana.

Tsy an-kitsitsy mihitsy ny adin-kiragasy, nifanandrinan-dRaedisamimanana, avy any Sahavato A, sy ry Rasohasimanga Berthine, avy any Ambohimandroso, omaly teny amin’ny Kianjan’Andohalo. Toy ireo tarika efatra efa nifandona, hatramin’ny nanombohan’ny hetsika, samy vonona ny handrombaka ny loka amin’ny « Hiragasy makotrokotroka » andiany fahafito ireto tarika roa ireto. Tsiahivina hatrany fa tsy hifarana ny adin-kiragasy raha tsy ny 16 oktobra izao.

Nanatontosa : Landy R. Fano, Tiana R.  

L’artiste plasticien Herizo Razafimbelo présente son one-man-show baptisé « Avant-goût »  à la galerie Rose et Baobab Antsahavola, cette semaine.

Une bonne dizaine de toiles peignant la beauté de la Grande île et notamment, de la gent féminine malgache. Dans ses tableaux, Herizo tient exclusivement à utiliser des matières et des fibres naturelles comme la toile écrue, la terre rouge et plus particulièrement, la toile de joute ou «gony» dans laquelle on conditionnait le riz à Madagascar. Un style «ethnique » et contemporain» auquel il s’affirme fièrement comme l’initiateur. «C’est la première impression qui compte, entend-on souvent dire. Quand on est face à quelque chose, c’est le premier regard qui nous procure cette sensation de l’approcher, d’y goûter et d’aimer. Dans cette optique, Avant-goût se réfère ici à des thèmes aussi variés que la nourriture, l’homme ou encore de simples objets», analyse l’artiste.

Amalgame d’euphorie et de dépression

Herizo a minutieusement  mis en œuvre ses tableaux depuis 4 ans pour  témoigner de ce professionnalisme et perfectionnisme qui sont en quelque sorte ses maîtres mots. Pour lui, la peinture requiert tout autant de temps que de patience. «Depuis mes 20 ans de carrière, celle-ci est ma troisième exposition personnelle. Cela dit, j’ai participé à des expositions collectives  d’envergure comme « Hosotra » qui se tient chaque année à l’espace Rarihasina à Analakely et l’exposition internationale de la rencontre des cultures au palais des Sports et de la culture Mahamasina», a-t-il détaillé.

Un amalgame d’euphorie et de dépression couchée sur une dizaine de toiles lève les secrets de l’artiste. L’exposi¿ déambulation en optant comme décor un hameau en «ravinala» et une «épicerie de campagne». «L’objectif est ici de mettre en avant cette culture d’accueil, de partage mais surtout la solidarité, propre au peuple malgache», a-t-il souligné. Fidele à ses principes, Herizo projette en juillet 2017 de monter une autre exposition de sculpture.

Joachin Michaël

Les amoureux de la littérature ont été bien servis samedi dernier au Centre malgache de développement de la lecture et de l’animation culturelle (Cemdlac) à Analakely. En fait, le recueil de poèmes de Hanitra Olive, un ouvrage intitulé «Antsahanofy», a été présenté officiellement par Faribolana Sandratra.

Hanitra Olive est une artiste membre du cercle des poètes et écrivains Sandratra. Depuis toute jeune, elle voue une folle passion pour la poésie. Ecrire a toujours été sa façon d’exprimer et d’extérioriser son rêve et sa vie joyeuse aux autres. Ce qui a permis à cette gente dame d’aboutir à ce livre.

«Antsahanofy» est fort de  168 pages. Ce recueil aborde des thématiques aussi variées que l’amour, la politique  et  la vie sous toutes ses coutures. Sa présentation à eté ponctuée s’est  par une déclamation de poèmes, une représentation de théâtre, une séance de dédicace et pour couronner le tout, le groupe Ny Hasina s’est invité sur scène pour changer un peu le décor.

Fidèle à son rendez-vous mensuel, Faribolana Sandratra s’engage depuis toujours à la promotion de littérature malgache. Tous les quatrièmes samedis du mois, les jeunes artistes membres du cercle Sandratra, investissent le Cemdlac,  à Analakely.

Joachin Michaël

Le groupe God’s Messenger Mass Choir (GMMC) s’est engagé depuis toujours à  mettre ses  talents au service de l’évangélisation et des œuvres sociales. Dans ce contexte,  la chorale a donné un déjeuner- concert de levée de fonds, samedi dernier, au Pavé à Antaninarenina.

«Que ma bouche soit pleine de ta louange, que chaque jour, elle exalte ta magnificence», une valeur tirée du Psaume que GMMC a fait sienne pour promouvoir le chant évangélique dans toute sa splendeur. La chorale fête cette année ses 25 ans. Pour marquer d’une pierre blanche cet anniversaire, une série de concerts s’est tenue dans la capitale.

Les vingt membres du chœur ont débuté le show à 12 heures 30. La première partie de sa prestation a été consacrée à ses propres compositions. On note tout particulièrement «Ampianaro aho», «Manana ano», «Mila Anao» et bien d’autres. La formation musicale a aussi entonné pendant quelques tours d’horloge des cantiques anglais pour le fait que les membres sont tous issus d’un club anglais.

«Outre ce concert, nous projetons de sortir d’ici peu un nouveau clip intitulé  Feno anao, sachant que l’épicentre de la célébration de notre anniversaire sera maintenu au mois de décembre à travers une grande manifestation. Par ailleurs, notre deuxième album est en gestation», confie Mialitiana, membre actif de GMMC.

Joachin Michaël

Une ode à la musique du terroir. Le concert de Zazaraha qui s’est déroulé samedi dernier au Cercle Germano-malgache a émerveillé l’assistance. En guise de prélude, une représentation d’art oratoire, le fameux « Kabary Betsileo » a ouvert la scène. A16 heures tapante, la bande à Zazaraha a entonnée les premières notes de ses créations musicales.

Visiblement,  le groupe a séduit le public du CGM par sa sobriété de gestes et de paroles, son sourire et sa puissance vocale. « Impressionnant », s’est réjoui un père de famille parmi l’assistance, «il fait partie de ces artistes qui ont travaillé fort pour faire de la musique du terroir ce qu’elle est maintenant, sans pour autant négliger l’immense contribution de la génération d’aujourd’hui».

«Mifona», «Beatiful flower», «Ry Malala», ou encore  «D’ef Zay», les morceaux se sont enchainés sous la forme d’une suite de titres sans blanc ni pause, donnant l’impression d’une seule et même pièce musicale. Entre-temps, Mija Kamisy a été sur le devant de la scène.

Quelque part entre Salala et Olombelo Ricky, Zazaraha a créé son identité musicale avec le souci de respecter et de transmettre l’âme et la magie de la musique traditionnelle malgache. Il se situe dans le champ de la «ré-création» d’un patrimoine et dans la composition d’œuvres inspirées par la tradition.

Joachin Michaël

Nanomboka ny alahady ka nitohy omaly ny fihaonan’ny tanora, tafiditra indrindra anatin’ny lalaon’ny CJSOI, izay tontosaina eto amintsika amin’izao fotoana izao. Samy niezaka naneho ny lohahevitra manodidina ny firahalahiana ireo tanora nandray anjara tetsy amin’ny Cemdlac Analakely, omaly.
Nisy ny fampirantiana narahina adihevitra sy fampahafantarana, nataon’ny isam-bondrona. Samy naneho ny mampiavaka ny firenena niaviany tsirairay avy, kanefa koa samy nampisongadina ny mampitovy ny mpandray anjara. Ohatra noraisina tamin’izany ny endri-pihavanana sy firaisankina, izay misy any Seychelles, La Réunion sy eto Madagasikara, ohatra.
Tsy sakana fa vao mainka harena ny fahasamihafana misy, ary antony iray nampidirana ny lafiny kolontsaina ao anatin’ny lalaon’ny CJSOI izany. Mikasika izay indrindra, fantatra fa hotontosaina anio tolakandro ny teatra, handraisan’ireo firenena mpandray anjara, etsy amin’ny Cemdlac Analakely ihany.

Zo ny Aina